Résumé :
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La part la plus considérable de la vie se passe à mal faire, une large part à ne rien faire, toute la vie à n’être pas à ce que l’on fait ». Tel est le constat de Sénèque, dans la première des lettres qu’il adresse à son ami Lucilius. Par-delà les siècles, les stoïciens continuent de nous parler, toujours de manière aussi frappante. Ils font la promesse d’un homme libre et puissant ; d’un homme qui tire sa tranquille assurance d’une vision ultra-rationnelle du monde. Approche trop brutale ? Rigueur excessive ?
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