Résumé :
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Recherche de performance, ancrage territorial, stratégie à l’égard des publics, internationalisation… les institutions culturelles semblent aujourd’hui avoir intégré les « lois du marché ». Plongés dans un environnement caractérisé par la commercialisation et la financiarisation de la culture, leurs responsables doivent désormais composer avec de nouvelles notions dont ils sont peu familiers : marketing, management, évaluation, leadership…
Pour autant, ces institutions bien particulières ne peuvent être considérées comme des entreprises, et leur gestion doit s’adapter à leur spécificité : celle d’« organisations culturelles de marché ».
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